Identifiez vous !

Invité

Mazette! La mignonne ne s'en laissait pas compter. Par les rouflaquettes de l'oncle Grofalzar, on n'avait pas vu telle fille depuis longtemps; le genre à vous diriger les hommes autant par le fer que par le coeur et pour qui on donnerait sa vie juste pour la plaisir de recolter un sourire de la belle. Grob se marrait du haut de ses six pieds six pouces et de son quintal massif. Il se faisait rudoyer par une genisse pas plus grosse que la moitié de sa cuisse, mais ca lui plaisait bien au grob. Pas souvent qu'on lui en remontre de cette façon et encore moins par une petiote remontée à cran. Grob la regarda s'éloigner et posa son fessier en attendant qu'on vienne le chercher. En final, il l'aimait bien la sergente...

Messages : 3 Date d'inscription : 02/01/2011

Condérina aperçut dame felinia s'avancer vers elle

Bonjour felinia, j'ai pu discuter un peu avec dame neyco qui m'a dirigé ici..afin d'avoir plus rapidement les informations mais aussi aider dans la vigilance de toulouse si c'est bien cela..

elle la laissa répondre a l'homme qui arrivait.

Elle lui sourit

Je suis ravie de te compter parmis les viligants, il est important d'en avoir autant
que nos soldats.
Allons au bureau si tu veux bien.

https://coct.forum-actif.net/t380-accueil-des-vigilants-toulousains

Messages : 3 Date d'inscription : 02/01/2011

Elle lui sourit

une aide plus est toujours, je pense bénéfique. Je te suis..

elle prit le chemin du bureau

(ps le lien marche pas )

En effet, allons y je passe devant !

Elle jeta un oeil à Messire Grobatar qui était toujours à la porte, elle aurait bien voulu
qu'il soit à Toulouse.
Elle sourit en coin à l'idée et alla au bureau des vigilants accompagnée de la Mairesse de Toulouse.

(Je fais la demande Wink

)

Invité

Son cheval fumait encore des lieues avalées depuis le Languedoc.

Voda entra, vêtu de ses habits épais, et héla le premier garde qu'il rencontra:

Toi là bas! Haste-toi de me faire quérir le Sénéscàl Vonlichtenchein, de la part de Voda. Je suis venu pour le voir aujourd'hui.

Ancien Membre Messages : 862 Date d'inscription : 20/03/2010

Iurek arriva, l'air franchement pas aimable. Ses cheveux longs en queue de cheval et une barbe qui recommençait a manger ses joues, sans compter qu'il s'était jurer de ne plus boire un godet tant qu'il serait au Conseil, pour éviter d'en venir aux mains avec ses confrères. Bref. C'est donc un homme trapu, énergique, sec et musculeux, le visage buriné, la quarantaine, qui vint ouvrir la porte d'entrée. Un regard mauvais sur les deux personnes à l'extérieur... Qui s'arrêta sur Voda. Il ne put s'empêcher de claquer des talons, un garde à vous impeccable.

"Mon sénéchal ! Qu'est ce que ... Oh, euh, pardon, messire Voda, je ne suis pas encore tout a fait habitué. Vous voulez voir le Sénéchal ?"

Le garde présent à l'exterieur opina.

"Eh bien ! Qu'est ce que tu attends ! Va prévenir le Sénéchal ! Le sénéchal Vonlichtenchtein, Par la Sangdieu ! Ou je te ferais poncer les latrines jusqu'a ce qu'elles soient nacrées !"

le soldat détala sans demander son reste. Un regard vers l'autre.

"Et vous, vous êtes la recrue pour Foix ? Très bien. Alors ! On s'inscrit ! au pas d'deux ! et après, c'est par là ! https://coct.forum-actif.net/f73-recrutement-lance-de-foix !"

Le garde ayant reconnut l ancien Sénéchal, envoya chercher le Sénéchal Vonlichtenchein.

Au bureau du Sénéchal.
Le garde frappa a la porte et délivra le message.

Von sourit, se leva et se vêtit chaudement par le froid qui court en se moment.

Bien merci tu peux reprendre ton poste j y vai prestement.

Il traversa tous les couloirs, puis les allées extérieur pour enfin arriver a la porte d' entrée.
Il tenailles bras en avant vers Voda.

Ah mon ami je suis content de te voir, tu as fais bonne route ?
Comment vas-tu ?
Qu'es ce qui t amène ? Rien de grave au moins ?

Invité

Voda lança une grande bourrade dans le dos du sergent Iurek, qui, s'il ne s'était s'agit du solide geôlier au garde à vous, aurait fait valser avec perte et fracas n'importe quel mignon contre un mur.

Adissiatz Iurek! Oubliez le protocole mon ami, nous allons faire couler la bière de concert.

A bras ouverts, Voda serra son ami Emerentar.

La route fut moyenne, mais ce n'est point le mauvais vent qui m'amène. Je suis venu quérir de tes nouvelles, tout en me rinçant le gosier avec toi.

Puis à l'adresse du sergent:

Sergente! accompagnez vous ou rejoignez-nous à la taverne des vieilleries, et allons causer.

J'ai hâte de vous entendre tous car vous m'avez bien manqué.

Elle fit l'accola à son ex sénéchal et néanmoins ami

Pour en raconter on en a à raconter !

Elle lui fit un clin d'oeil

Et de plus si tu as gardé une petite prune, je dirais pas non !!

Il sourit et montra de sa main la direction de la Taverne des Souvenirs.

Et bien allons-y
La taverne n'attend plus que nous.

Messages : 19 Date d'inscription : 07/01/2011

Rédémond avançait tranquillement depuis le matin, vers l'entrée du fort du comté de toulouse, arrivant enfin devant les grandes portes, il s'adressa doucement aux gardes. Comme à son habitude, son caractère réservé prenait le pas et il s'adressa doucement au garde.

Adissiatz, Je souhaiterai m'engager dans la compagnie d'ordonnance, à toulouse même, si il y a quelqu'un à prévenir...

Il s'en retourna lentement sur un tronc, s'assoir à l'abrit du vent.

Garde Messages : 88 Date d'inscription : 16/02/2010

Arthuria vit un homme avancer, elle se mit en place et l'écouta.

Bien Messire,

On va vous conduire au bureau de recrutement de Toulouse.

Veuillez suivre ce garde.

Elle désigna un desgardes pour l'y conduire.

Citation :: Les gardes attendaient que le jeune freluquet se réveille totalement. Ils lui avaient apporté de l'eau et du pain.
L'un d'eux restait assis sur lui. Ephear sous la pesanteur finit par prendre conscience de ce qui venait de se passer.
Il gémit alors,

Pitié, Messires, je suis Ephear de Toulouse, enfin je vis à Toulouse de la culture du blé...

Je dois rencontrer une personne blonde et qui crie facilement, c'est pour le recrutement.

Ah oui, ça y est on s'est calmé? Se relevant, Bah bien du courage mon gars, tu ne vas pas rigoler ici, crois moi.

On prévient nos supérieurs , restes ici là bien en face des archers.

Le garde s'enquit d'un petit rire moqueur.

Ephear remarqua qu'en plus il avait été attaché à une chaîne. Il tira dessus , impossible de s'en défaire.
Dépité, il attendit assis face à la grande porte.

Elle chercha son filot et le trouva attaché comme un chien à une chaîne.

Mais qu'est ce que tu fous là ???

GARDE RETIREZ LUI CA !

Première fois qu'on reçois une recrue de cette façon, je te prie de bien vous me suivre Ef, au bureau du recrutement de Toulouse.
Perdons pas de temps, https://coct.forum-actif.net/f74-recrutement-lance-de-toulouse

Invité

Le jeunot se dirigeait vers la porte d'entrée de la compagnie d'Ordonnance du Comté, sa mère lui en avait indiqué le chemin après qu'Adamet lui ait annoncé son souhait de s'engager comme soldat, et que cette dernière n'est accueillie la nouvelle non sans cacher sa joie.

Il sourit en y pensant, à vrai dire il n'avait pas eu à réfléchir longuement à la question, un futur dans l'armée étant le plus proche de son ambition actuelle. Tandis qu'il s'approchait encore plus du bâtiment, il imaginait ce qui allait l'attendre une fois à l'intérieur, en réalité il n'en avait pas la moindre idée mais une petite voix lui disait que ça n'allait pas ressembler à une partie d'tarentelle en attendant de voir la première pousse de ses légumes sortir !
Léger sourire aux lèvres, le jeune homme arriva enfin devant la porte, se redressant et prenant une légère inspiration, il dit à l'encontre des gardes présents :

Bien le bonjour, je souhaite m'engager dans l'armée de Toulouse, je viens de la part du Lieutenant Felinia.

Adamet restait à l'affût d'une réponse, sa voix se voulait calme mais il était aisé de deviner l'agitation régnante dans son esprit, ce n'est pas tous les jours que l'on choisit aussi directement son avenir.

Félinia non loin de la porte d'entrée attendait une arrivée imminente.
Elle le vit et alla à sa rencontre.

Lieutenant Félinia de la caserne de Toulouse, sois le bienvenu.

Elle lui sourit

Je t'attends au recrutement de la lance de Toulouse, à mon bureau

Invité

Après une ou deux minutes, Adamet la vit arriver devant lui.
Il lui adressa un large sourire puis se tint droit face à elle. La situation lui semblait bien nouvelle.

Merci Lieutenant, je viens pour le recrutement.

Il ne put réprimer une marque de gaieté dans ses mots. Allons, c'était la première fois qu'il usait tel patronyme avec la femme devant lui, et ça n'allait pas être la dernière, il le sentait.

Elle était pas peu fière de cette recrue mais ici, le traitement serait le même que pour tous

Suis moi, perdons pas de temps !

https://coct.forum-actif.net/f74-recrutement-lance-de-toulouse

Invité

La jeune Amy se dirigea timidement vers l'imposant corps de garde. Elle jeta un œil respectueux aux archers loin au dessus, fit un bref geste de tête à destination des gardes postés de part et d'autre de l'enceinte, et passa le pont levis. Elle ne put s'empêcher de sourire à l'idée que l'entrée devait être conçu pour quelqu'un dont la tête était énorme. Elle retrouva vite son sérieux en se rendant compte qu'elle n'était pas seule, et s'adressa à la première personne venue.

"Heu... bonjour, je suis Amy. Je viens pour le recrutement de la caserne de Foix."

Ancien Membre Messages : 862 Date d'inscription : 20/03/2010

Iurek arriva en boitillant, une épée au côté. Il s'appuyait sur un baton de marche, la démarche pesante, l'uniforme lache sur l'épaule, les traits tirés par la douleur. Cheveux longs noirs collés sur son visage, les rides de cet homme d'environ quarante ans exacerbées par ses grimaces de douleur, mais les yeux d'un ours prêt à mordre. Il salua la jeune fille.

"Bonjorn, Dona. Je suis Iurek, le lieutenant de Foix. Je vous souhaite la bienvenue. Identifiez vous auprès du portier et rejoignez moi ICI, que nous puissions discourir de votre admission."

Invité

Présent en Toulousain pour une durée indéterminée, on lui avait livré à la tierce, alors qu'il prenait son petit déjeuner dans une certaine auberge, un message.
Son ragoût de fèves et sa cervoise terminée - d'ailleurs pas terrible la bière à midi- il se mit en route, direction la caserne.
Il ne lui fut pas très difficile de trouver la conciergerie, étant jadis un habitué des lieux. Il s'adressa donc au garde:

Adiessatz.

J'ai ici un message m'invitant à me rendre dans la partie civile de la caserne chaurienne, signé le dizenier Amael Sangd... Sanche.

Il fouilla les multiples recoins de son pardessus, cherchant ce bout de papier. .. *Mais bon sang, où était-il passé? Et mon chapeau? mes écus? Argh j'ai tout oublié à l'auberge*.

Revenant au garde:

Bref action-réaction, j'ai besoin de l'accès en question.

Invité

Scapin n'était pas spécialement à l'aise en se présentant à la COCT. Ce n'est pas le lieu en lui-même qui lui posait un problème, bien qu'il n'y passerait certainement pas ses vacances, mais disons que les soldats c'est pas sont truc. Cependant, les brigands qui menace sa petite vie tranquille d'égoïste, il aime encore moins. A la demande de son ami, il se résolut donc à venir voir un peu comment ça se passe dans se repère d'intellectuels. Le premier cerveau, que dis-je, le premier puits de sagesse qu'il croisa fut le garde de l'entrée. Celui-ci protégeait la porte de la COCT comme un chien défend son os et ne semblait pas enclin à négocier le moindre laisser-passer. Scapin se résolu à devoir deviser avec le planton :

Bonjorn. Je suis Scapin. Je suis de Castelnaudary. Je viens voir Amael...

Ne sachant comment s'y prendre, il poursuivit :

Heu, je dois m'entretenir avec lui d'histoires de vigilants pour la ville explicitée sus-ditement.

Scapin attendit la suite, non sans avoir regretté cette dernière phrase qui, dépassant le cadre du simple sujet-verbe-complément, pouvait induire une surchauffe du duo neuronal du garde.

Invité

Amael entendit deux voix familières qui semblaient s'entretenir avec le mur d'enceinte. Ce qui eut la faculté de le mettre hors de lui, après la dernière alerte qui lui avait mis un peu les nerfs à vif... Il passa la tête par la fenêstre, salua d'un sourire les deux visiteurs chers à son coeur puis pencha un peu plus la tête vers la grille et le garde qu'il entendait ronfler de là où il était...

GAAAAAAAAAAAAARDE!!!! BON DIA D'BON SANG C'EST PAS LA TOUR DE BABEL ICI!!! ON VOUS PARLE EN OCCITAN, PAS EN OÏ QUE JE SACHE!!! LEVEZ MOI CESTE FOUTUE GRILLE NOM D'UNE PIPE AVANT QUE J'DESCENDE VOUS BOTTER L'CEANS!!!

Amael rentra bien vite sa tête et descendit quatre à quatre les escaliers de pierre, traversa le hall puis la coure au pas de course, mais arriva malheureusement trop tard pour mettre ses menaces à exécution. La grille achevait sa course et le garde le regarda de biais d'un air confus.
Amael lui fit les gros yeux en lui intimant discrètement de jeter un oeil sur les visiteurs. Le pauvre Guilhem eut du mal à déglutir, et se mit au garde à vous impeccablement pendant qu'Amael allait accueillir ses vieux amis goguenards.

Bonjorn Scapin, bonjorn Voda, e la benvengut en l'enceinte de nostre modesta caserna. Senesçal, ça doit te faire drôle d'attendre devant la grille pour entrer! Ben voilà allez, on va faire ensemble la visite pour Scapin, et puis tu verras quelques petites choses ont changé ici.
Ha, ça me réjouit de vous savoir parmi nous. Les temps changent, les gens changent et passent... et nostre mission est de nous y adapter.

Messages : 1 Date d'inscription : 10/02/2011

Scapin aimait avoir raison. Son côté mégalomane sans doute. En entrant dans ce lieu où l'humble visiteur sentait le poids de la sagesse accumulée depuis des siècles par tous ses intellectuels du passé, il avait pronostiqué un court-circuit du garde au moment de comprendre ses propos. Bingo. Son ami Amael avait beau être venu à sa rencontre, le planton n'en demeurait pas moins borné.

Vois-tu ami, l'armoire à glace ici présente accepte que j'entre puisque tu viens m'acceuillir, mais il n'a pas intégré que je viens pour le bureau des vigilants de Castel et je dois ma foi rester dans la cour, faute de laisser passer...

Invité

Nelio marchait, paisiblement, sous le soleil doux du matin. Il arriva à la porte de la caserne surveillée par des gardes. Nelio s'approcha d'eux, un peu impressionné et s'adressa d'une petite voix:

Bonjour, je viens m'engager à la caserne d'Albi, prêt à servir et défendre le comté.

Nelio s'assit dans l'herbe et se mit à contempler le ciel.

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